Pour la plupart, l’endométriose, c’est « juste des règles douleureuses », pour beaucoup, « c’est dans la tête » et pour certains, c’est même une maladie « psychosomatique ». L’endométriose et ses conséquences, parfois graves, mais toujours invalidantes, sont pourtant une réalité. Et l’autre
réalité est qu’on ne « guérit » pas de l’endométriose. Guérir veut dire cesser, disparaître. Or, à ce jour, malgré les premiers pas d’une recherche scientifique balbutiante mais porteuse d’espoirs, il n’existe aucun moyen de la faire « disparaître ».